Lundi, les électeurs italiens avaient tranché. Ils ont préféré des partis populistes ou anti-establishment aux partis populistes aux partis traditionnels du centre, sans majorité nette à aucune formation.
L'Italie est plus polarisée que jamais pouvant créer une paralysie politique.
"Che bordello" titrait le journal "Il Tempo".
Former un gouvernement, ce sera une question de répartition de quartiers de tartes mais certainement pas du gâteau.
Quand l'Italie avec une dette représentant 130% du PIB fait partie des enfants en convalescence de l'Europe un vote de protestation comme celui que l'on a connu aux États-Unis n'est peut-être plus de raison dans un mariage hors-nature.