"Tu viens pas me faire la leçon avec ton libéralisme à deux balles", une remarque choc d'un interlocuteur qui m'avait bien fait beaucoup sourire alors qu'il voulait parler des élections "spectaculaire" françaises.
Y en a marre de parler de ces élections qui ne sont pas les nôtres.
"Cela a assez continué à rester durer", comme on dit chez nous.
Il y a longtemps, Pierre Dac se posait la question de savoir "Comment mettre de l'argent de coté pour l'avoir devant soi, alors que paradoxalement c'est une façon comme une autre d'assurer ses arrières?".
Que faire de ce putain de cash?
Non, je ne vais pas jouer au conseiller en placements.
L'argent n'est qu'un miroir aux alouettes.
Je vais seulement relater les raisonnements de spécialistes en la matière qui ne manquent pas de donner des idées salées, poivrées et sucrées.
A l'école, on apprend comment gagner du pognon, mais pas comment le conserver.
Etre plus informé qu'en 2007, quand la crise, la brise et la bise furent venue, tout est là.
L'apprentissage de lucidité des Belges se passa à l'arraché pour une partie de la population d'épargnants.
Ils ont sécurisés leurs billes dans plusieurs banques puisque nous les avions perdues et qu'elles s'étaient expatriées chez nos voisins français et hollandais.
A cette époque, beaucoup de compatriotes ne voyaient pas de grandes différences entre une obligation et une action ou une différence entre une branche 21 et une branche 23 alors que ces branches ne poussaient pas sur le même arbre.
"Le passé est un œuf cassé, l'avenir est un œuf couvé", écrivait Paul Eluard.